Le très populaire Michel Bordagaray est le partenaire principal de cette soirée du mardi 19 août. Et à l’image du personnage ce sera, au village partenaires, un grand rassemblement d’amitié. Michel a une place à part dans la cesta luzienne car c’est une histoire peu ordinaire qui le lie aux Internationaux. En effet il a lancé son restaurant, rue de la République à Saint-Jean-de-Luz, « L’Ecailler-L’Alcade », en même temps que naissaient les Internationaux. « A peine installé j’ai adhéré à l’idée et depuis je suis là chaque année » dit Michel.
Michel Bordagaray: Amitié et fidélité
ACP: Goiko et Lopez bien sûr
L’association Pro Tour tient un classement (ACP) tenant compte des résultats des joueurs relativement au nombre de parties disputées à Saint-Jean, Biarritz, Mauléon et Pau. Personne ne s’étonnera de savoir que chez les avants Iñaki Goikoetxea et chez les arrières Imanol Lopez tiennent largement le haut du pavé avec un ratio de 83% de victoires. Mais les deux se sont envolés vers les Etats-Unis. Il est intéressant de voir leurs suivants, d’autant plus que cela déterminera l’affiche de la super-finale du jeudi 28 août.
L’œil dans le rétro: Juillet génial, août intense
Alors que l’on approche de la fin de ces Internationaux de Cesta Punta 2014, nous avons demandé à Philippe Etcheverry (notre photo), éducateur et technicien au sein de la pelote basque de jeter un œil dans le rétroviseur et de commenté le mois et demi passé à Saint-Jean-de-Luz. Et cela commence par un vrai coup de cœur.
Maison Pariès: Maîtriser la matière première
Avec la Maison Pariès (« gourmandises basques ») voilà encore un nom quasiment indissociable des Internationaux de Saint-Jean-de-Luz. Elle sera présente en cette soirée de finale du 14 août comme elle l’est depuis le coup d’envoi de la saison et comme elle le sera jusqu’au baisser de rideau. L’an dernier l’actualité de la société était l’ouverture de deux nouveaux magasins à Paris (départ en trombe) et à Saint-Sébastien (plus compliqué mais en train de faire son trou) venant après ceux de Saint-Jean-de-Luz, Biarritz et Socoa.
Scopelec: L’avenir en fibre optique
Le partenaire titre de cette soirée de finale du jeudi 14 août est la Scopelec. La belle histoire d’une coopérative née en 1973 et qui d’extensions en achats est devenue un groupe imposant de 2 200 salariés réalisant 230 millions d’euros de chiffre d’affaires sur l’ensemble du territoire national y compris l’outre-mer. Une entreprise qui reste totalement indépendante et dont le capital est détenu par les salariés. Mais ce sont des chiffres 2013. Depuis, Scopelec a racheté en début d’année l’entreprise Lanux à Aire-sur-Adour. Du coup l’effectif est passé à 2 500 salariés. Mais dont le siège social, historique, est resté à Revel en Midi-Pyrénées. « Cela correspond à notre philosophie, dit Jean-Luc Candelon, le président du groupe, qui est d’ailleurs présent en cette soirée du 4 août (notre photo). Nous défendons certaines valeurs dont l’ancrage régional. On aurait pu aller ailleurs bien sûr mais nous voulons, coûte que coûte rester à Revel » Une fidélité que l’on peut mesurer aussi aux Internationaux de Cesta Punta de Saint-Jean-de-Luz où Scopelec devient peu à peu un allié historique.
