AM Trust: Précurseur dans l’archivage numérique
On parle souvent de fidélité dans les rangs des partenaires des Internationaux. Mecabureau placé aujourd’hui sous la bannière de AM Trust est de cette eau. Depuis plus de dix ans on n’imagine pas une saison sans une soirée Mécabureau, toujours autour de la très souriante Pascale Mazas-Loncan, responsable de l’agence Pays Basque-Landes qui est en cette soirée du jeudi 31 juillet accompagnée, comme de coutume, de son directeur régional, Philippe Jeangrand (notre photo).
Et chaque année, s’agissant de présenter cette société, il y a du beau et grand neuf. Car si en matière d’activités économiques on parle souvent de qualités de réactivité, quand on parle de AM Trust il faut parler d’anticipation permanente. A l’heure où Mecabureau était concentré sur les photocopieurs, la société avait toujours un temps d’avance s’agissant des modèles proposés et surtout des fonctionnalités de ce matériel.
Depuis plus d’un an AM Trust est lancé sur le marché de la dématérialisation des documents. Avec une accélération du concept vers celui de coffre-fort numérique. Avec, pour se renforcer dans ce secteur, le rachat au passage d’une société de Bassussary, ASP 64, un éditeur de logiciel de sauvegarde. Et là on est dans le cœur du problème. Car AM Trust propose l’archivage des documents à valeur probatoire (ils font foi d’original) dans des bases de stockage hyper sécurisés. « Notre force, et c’est unique, d’avoir des bases de stockage (data centers) qui nous appartiennent et surtout qui sont toutes situées en France, précise Pascale. Et elles sont toutes aux normes (NF Z42-013) françaises ».
La nuance ? « Toutes les données sont cryptées et confidentielles avec obligation de restitution, précise Pascale. Dans les bases installées à l’étranger si les documents sont perdus ce n’est pas considéré comme grave. Aux Etats-Unis, si on ne veut pas redonner un document, c’est normal. C’est vraiment ce qui nous différencie de toutes les offres générales proposées en France. La plupart d’entre elles s’appuient sur des data centers situés hors de nos frontières et qui n’ont pas du tout les mêmes obligations que chez nous ».
« Nous sommes particulièrement vigilant sur la sécurité. Notre data center est le plus sécurisé de France » insiste Pascale. Qui reconnaît rencontrer quelques réticences au départ. On ne se passe pas définitivement du papier aussi facilement. Mais petit à petit les choses avancent bien.
Et les photocopieurs ? « Cela reste notre fond de commerce principal, dit Pascale. En plus on en a besoin dans le cheminement vers l’archivage numérique. Dans cette période économiquement difficile on reste stable dans le secteur de la photocopie mais on est en forte hausse dans le domaine de la dématérialisation. Ce qui fait que notre chiffre d’affaires continue à progresser d’année en année. D’ailleurs à la rentrée nous allons embaucher un commercial justement pour booster l’archivage numérique ».
Et les choses ne vont pas en rester là. « Nous avons un pdg qui n’hésite pas à investir dans la recherche et le développement, poursuit Pascale. Avec le rachat d’ASP nous disposons d’un pôle de 39 développeurs. C’est indispensable… ».
Mais l’entreprise tient à garder une de ses qualités principales qui est la proximité. En plus, Mecabureau apporte sa valeur ajoutée traditionnelle : la proximité. « Nous avons une solution sur mesure pour chacun de nos clients grâce à une équipe d’informaticiens maison très performants et très attachés aux relations avec la clientèle » insistait Pascale l’an dernier. Et là rien n’a changé….
